Tomb Raider 2 : le berceau de la vie
Voilà une bonne daube comme on en croise rarement, mais quand on la croise, on sait la reconnaître instantanément. Que dire lorsque l'on croise Ciaran Hinds ("Munich", Jules César dans "Rome") en méchant de l'épisode, tandis que le premier volet affichait déjà Daniel Craig ("Munich" aussi, et "Casino Royale")? Il n'y a rien à sauver dans ce film, pas même Angelina Jolie et sa plastique, tant l'ensemble sombre dans le néant. De toute façon quand on a connu le jeu vidéo d'Eidos, on pouvait se douter du résultat à l'avance...
Cinema Encyclopedia
- Kynerion
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Little Miss Sunshine
Sympathique road-movie d'une attachante famille de losers, les Hoover, qui subsiste péniblement dans sa diversité avant de se souder réellement dans la difficulté qui jonche son parcours pour présenter la petite dernière, Olive, au concours de Little Miss Sunshine. Pas de grand message, pas de grande réalisation, mais un ensemble très agréable grâce aux justes portraits des personnages.
Good Night, And Good Luck.
Le combat d'une équipe de journalistes de CBS contre les méthodes du McCarthysme aux Etats-Unis dans les années 50. Entièrement en noir et blanc, complètement embrouillé par la fumée de cigarette, agréablement ponctué par du jazz, et agrémenté de passionnantes images d'archives, le film vaut le coup d'oeil autant pour son message d'une terrible actualité (le pouvoir et l'objectivité des médias tiraillés par des considérations de sponsoring et de divertissement) que pour son exercice stylistique de réalisation. Pas un chef-d'oeuvre, juste un cours magistral de cinéma. Bonne nuit, et bonne chance.
Sympathique road-movie d'une attachante famille de losers, les Hoover, qui subsiste péniblement dans sa diversité avant de se souder réellement dans la difficulté qui jonche son parcours pour présenter la petite dernière, Olive, au concours de Little Miss Sunshine. Pas de grand message, pas de grande réalisation, mais un ensemble très agréable grâce aux justes portraits des personnages.
Good Night, And Good Luck.
Le combat d'une équipe de journalistes de CBS contre les méthodes du McCarthysme aux Etats-Unis dans les années 50. Entièrement en noir et blanc, complètement embrouillé par la fumée de cigarette, agréablement ponctué par du jazz, et agrémenté de passionnantes images d'archives, le film vaut le coup d'oeil autant pour son message d'une terrible actualité (le pouvoir et l'objectivité des médias tiraillés par des considérations de sponsoring et de divertissement) que pour son exercice stylistique de réalisation. Pas un chef-d'oeuvre, juste un cours magistral de cinéma. Bonne nuit, et bonne chance.
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Ennemi d'Etat
Un grand film d'espionnage, précurseur qui plus est, servi par d'excellents acteurs et qui continue de bien vieillir. J'ai même regretté de l'avoir vu au cinéma pour profiter à nouveau de l'effet de surprise.
Bruce Tout-Puissant
Très bonne comédie où Jim Carrey use de son registre avec parcimonie et efficacité. A noter, de bons effets visuels et une grande liberté (normal). Et puis l'occasion de mettre définitivement un nom sur le visage de Steve Carell, après Little Miss Sunshine et The Office (on remonte le temps donc ^^).
Un grand film d'espionnage, précurseur qui plus est, servi par d'excellents acteurs et qui continue de bien vieillir. J'ai même regretté de l'avoir vu au cinéma pour profiter à nouveau de l'effet de surprise.
Bruce Tout-Puissant
Très bonne comédie où Jim Carrey use de son registre avec parcimonie et efficacité. A noter, de bons effets visuels et une grande liberté (normal). Et puis l'occasion de mettre définitivement un nom sur le visage de Steve Carell, après Little Miss Sunshine et The Office (on remonte le temps donc ^^).
The Road To Guantanamo
n aime toujours voir surgir du domaine artistique une critique de la politique contemporaine. Dans ce domaine, les films de guerre retraçant le destin de soldats étriqués tout au long de conflits sanglants avaient brillés quelquefois par leur audace. Mais on avait du mal à voir l'actualité récente sous les feux des projecteurs. Michael Winterbottom co-réalise ici un film poignant sur l'idiotie à l'américaine.
Et sans perdre de temps! En effet, le film s'intéresse aux destins de trois jeunes anglais, arrivés fin Septembre 2001 au Pakistan puis en Afghanistan pour célébrer un mariage. Pris entre deux feux lors de l'invasion américaine, ils sont rapidement capturés puis traités comme de dangereux combattants d'Al-Quaida.
L'histoire est édifiante en ce que ce semi-documentaire raconte une histoire vraie. Comment trois citoyens britanniques, d'origine pakistanaise, sont détenus plus de deux ans par l'armée américaine, et accusé de ce qu'ils ne sont pas. Preuves à l'appui, on leur démontre qu'ils sont coupables sans les écouter. Certes, le contexte est exceptionnel ; juste après le 11 Septembre 2001, les Etats-Unis sont en mode "guerre", et l'armée américaine à fleur de peau. Mais sous le témoignage des trois ex-prisonniers de Guantanamo, on décèle une vérité peu reluisante. Et c'est là le point fort du film ; ici, pas de combats, pas d'héroïsme ou de dramaturgie de fiction. Les trois anglais ont été libérés quelques 24 mois après leur arrestation à la frontière pakistanaise, et raconte face caméra leur histoire. Sans prise de position, ni haine ou rancoeur, ils racontent leur histoire. Alors évidemment, quelques éléments sont sans doute mis en valeur, mais l'ensemble tient la route. On découvre le quotidien d'un prisonnier de guerre, traité comme un combattant ennemi.
Le plus dur dans cette "anecdote" parmi tant d'autres, est de voir comment l'armée américaine, la plus forte du monde, peut traiter un homme désarmé, sans défense après son arrestation, lors de transfert ou interrogatoire. Des méthodes peu reluisantes qui ne met pas en valeur son image. L'arrogance et la vue limitée des américains est ici mis en avant, avec des éléments édifiants. Ou comment accuser un homme de participer à des réunions d'Al-Quaida en Afghanistan en Juillet 2000 à l'appui de vidéos flous, alors que ce même homme prouve qu'il travaillait à cette période en Angleterre.. Consternant d'idiotie, on pourrait croire à une parodie, si ce n'était le parti pris du réalisme poussé à son comble qu'on choisit les deux réalisateurs. Finalement, la reconstitution parfaite de ces deux ans d'enfer pour nos trois anglais fait prendre conscience de la pensée fermée d'une Amérique en guerre..
Bien plus efficace qu'un film de guerre classique, The Road To Guantanamo fait preuve d'efficacité sur le message transmis, sans forcément prendre de position "anti" Amérique. La simple histoire de trois personnes injustement prise dans un contexte qui les dépassent, a conduit à une suite d'erreurs que les meilleurs services de renseignement au monde n'ont pas vus. Finalement, on peut craindre la force de frappe américaine.. qui frappe sans regarder. Un regard édifiant sur la volonté de certains politiques en place outre Atlantique.. et leurs conséquences sur le terrain. Et une belle plaidoirie pour les Droits de l'Homme.
Match Point
Woody ( Allen ) fait toujours autant de films, mais s'expatrie.. ça donne quelque chose de plus gamour ( Scarlett Johansonn!! ), voir malsain. En tout cas, c'est moins comique et plus romantico-dramatique que jamais. Si ce n'est quelques longueurs, on se laisse avoir par le film, à contempler la lente destruction du héros, et à se demander le pourquoi du comment de ses actions.. joli.
U-571
Film formaté à l'américaine, mais joli moment d'action sous l'eau, au moins il comporte une belle brochette d'acteurs en devenir, et ne dure pas trop longtemps!
n aime toujours voir surgir du domaine artistique une critique de la politique contemporaine. Dans ce domaine, les films de guerre retraçant le destin de soldats étriqués tout au long de conflits sanglants avaient brillés quelquefois par leur audace. Mais on avait du mal à voir l'actualité récente sous les feux des projecteurs. Michael Winterbottom co-réalise ici un film poignant sur l'idiotie à l'américaine.
Et sans perdre de temps! En effet, le film s'intéresse aux destins de trois jeunes anglais, arrivés fin Septembre 2001 au Pakistan puis en Afghanistan pour célébrer un mariage. Pris entre deux feux lors de l'invasion américaine, ils sont rapidement capturés puis traités comme de dangereux combattants d'Al-Quaida.
L'histoire est édifiante en ce que ce semi-documentaire raconte une histoire vraie. Comment trois citoyens britanniques, d'origine pakistanaise, sont détenus plus de deux ans par l'armée américaine, et accusé de ce qu'ils ne sont pas. Preuves à l'appui, on leur démontre qu'ils sont coupables sans les écouter. Certes, le contexte est exceptionnel ; juste après le 11 Septembre 2001, les Etats-Unis sont en mode "guerre", et l'armée américaine à fleur de peau. Mais sous le témoignage des trois ex-prisonniers de Guantanamo, on décèle une vérité peu reluisante. Et c'est là le point fort du film ; ici, pas de combats, pas d'héroïsme ou de dramaturgie de fiction. Les trois anglais ont été libérés quelques 24 mois après leur arrestation à la frontière pakistanaise, et raconte face caméra leur histoire. Sans prise de position, ni haine ou rancoeur, ils racontent leur histoire. Alors évidemment, quelques éléments sont sans doute mis en valeur, mais l'ensemble tient la route. On découvre le quotidien d'un prisonnier de guerre, traité comme un combattant ennemi.
Le plus dur dans cette "anecdote" parmi tant d'autres, est de voir comment l'armée américaine, la plus forte du monde, peut traiter un homme désarmé, sans défense après son arrestation, lors de transfert ou interrogatoire. Des méthodes peu reluisantes qui ne met pas en valeur son image. L'arrogance et la vue limitée des américains est ici mis en avant, avec des éléments édifiants. Ou comment accuser un homme de participer à des réunions d'Al-Quaida en Afghanistan en Juillet 2000 à l'appui de vidéos flous, alors que ce même homme prouve qu'il travaillait à cette période en Angleterre.. Consternant d'idiotie, on pourrait croire à une parodie, si ce n'était le parti pris du réalisme poussé à son comble qu'on choisit les deux réalisateurs. Finalement, la reconstitution parfaite de ces deux ans d'enfer pour nos trois anglais fait prendre conscience de la pensée fermée d'une Amérique en guerre..
Bien plus efficace qu'un film de guerre classique, The Road To Guantanamo fait preuve d'efficacité sur le message transmis, sans forcément prendre de position "anti" Amérique. La simple histoire de trois personnes injustement prise dans un contexte qui les dépassent, a conduit à une suite d'erreurs que les meilleurs services de renseignement au monde n'ont pas vus. Finalement, on peut craindre la force de frappe américaine.. qui frappe sans regarder. Un regard édifiant sur la volonté de certains politiques en place outre Atlantique.. et leurs conséquences sur le terrain. Et une belle plaidoirie pour les Droits de l'Homme.
Match Point
Woody ( Allen ) fait toujours autant de films, mais s'expatrie.. ça donne quelque chose de plus gamour ( Scarlett Johansonn!! ), voir malsain. En tout cas, c'est moins comique et plus romantico-dramatique que jamais. Si ce n'est quelques longueurs, on se laisse avoir par le film, à contempler la lente destruction du héros, et à se demander le pourquoi du comment de ses actions.. joli.
U-571
Film formaté à l'américaine, mais joli moment d'action sous l'eau, au moins il comporte une belle brochette d'acteurs en devenir, et ne dure pas trop longtemps!
#Cinema Passionné & Producteur ❘ Explorateur en #Storytelling #Socialmedia & #Transmedia ❘ Intervenant universitaire ❘ Chroniqueur @onlike ❘ #chocolat
- Kynerion
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Une vérité qui dérange
A l'aide de courbes, cartes et graphiques, Al Gore (l'ex-futur Président des Etats-Unis) démontre méthodiquement comment notre planète est en danger, à un point jamais atteint auparavant (depuis le début de son existence). Effrayant. Mais que fait le G8? l'ONU?
Les infiltrés
A l'aide d'un casting d'exception, Martin Scorcese démontre de nouveau qu'il est capable de réaliser des chefs-d'oeuvre. Avec cependant une fin plutôt prévisible vu comment Mark Wahlberg est sous-exploité durant le film, mais aussi la bonne surprise de constater que l'on ne lésine pas sur les sacrifices de personnages. Grandiose.
Pirates des Caraïbes 2
A l'aide. Trop d'action, trop de situations grotesques, trop d'humour pas drôle, trop long en plus, ce second volet démontre les limites d'une franchise Walt Disney sur-exploitée qui se doit de ratisser un public extrêmement large. Ennuyeux.
A l'aide de courbes, cartes et graphiques, Al Gore (l'ex-futur Président des Etats-Unis) démontre méthodiquement comment notre planète est en danger, à un point jamais atteint auparavant (depuis le début de son existence). Effrayant. Mais que fait le G8? l'ONU?
Les infiltrés
A l'aide d'un casting d'exception, Martin Scorcese démontre de nouveau qu'il est capable de réaliser des chefs-d'oeuvre. Avec cependant une fin plutôt prévisible vu comment Mark Wahlberg est sous-exploité durant le film, mais aussi la bonne surprise de constater que l'on ne lésine pas sur les sacrifices de personnages. Grandiose.
Pirates des Caraïbes 2
A l'aide. Trop d'action, trop de situations grotesques, trop d'humour pas drôle, trop long en plus, ce second volet démontre les limites d'une franchise Walt Disney sur-exploitée qui se doit de ratisser un public extrêmement large. Ennuyeux.
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Re: Cinema Encyclopedia
Nos Jours Heureux
Comédie française, sympathique. Jean-Paul Rouve est bien entouré, et ça respire la sincérité, cette histoire de colonie de vacances.
Resident Evil Extinction
A force d'enchaîner les libertés, on finit par baisser son niveau d'exigence avec la saga ciné des RE. Encore des survivants, encore des zombies, et encore un méchant plus méchant que les autres. Et la plastique de Milla Jovovitch pour agrémenter le tout (ainsi qu'Ali Larter, la Niki de Heroes).
Comédie française, sympathique. Jean-Paul Rouve est bien entouré, et ça respire la sincérité, cette histoire de colonie de vacances.
Resident Evil Extinction
A force d'enchaîner les libertés, on finit par baisser son niveau d'exigence avec la saga ciné des RE. Encore des survivants, encore des zombies, et encore un méchant plus méchant que les autres. Et la plastique de Milla Jovovitch pour agrémenter le tout (ainsi qu'Ali Larter, la Niki de Heroes).
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Re: Cinema Encyclopedia
I Am Legend
Je suis une légende
Le terrible destin d'un chien qui défend son maître, jusqu'à la mort... :(
Ou plutôt celui d'un homme, survivant du terrible virus censé guérir le cancer mais qui a en réalité transformé tout le monde (même les chiens et les souris) en zombies sensibles aux rayons UV. Mais le dernier homme sur Terre n'est pas seul, il a son chien, Sam.
spoiler
Je suis une légende
Le terrible destin d'un chien qui défend son maître, jusqu'à la mort... :(
Ou plutôt celui d'un homme, survivant du terrible virus censé guérir le cancer mais qui a en réalité transformé tout le monde (même les chiens et les souris) en zombies sensibles aux rayons UV. Mais le dernier homme sur Terre n'est pas seul, il a son chien, Sam.
spoiler
J'vous jure...Et puis à peine a-t-il perdu Sam qu'il récupère une jeune femme et un enfant. :blink:
Et puis le syndrôme Armgeddon frappe encore : le héros se sacrifie pour la survie de son espèce, alors que le chef des zombies, pourtant doté de facultés sociales, aurait pu comprendre que sa copine était guérie. Quel blaireau celui-là.
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Re: Cinema Encyclopedia
Les Sentiers de la Perdition
Un casting bien travaillé (dont deux acteurs qui se retrouveront plus tard dans Munich) pour une plongée dans la mafia irlandaise des années 30, sur fond de vengeance familiale. S'il n'y a rien à redire au scénario en-dehors de ses lenteurs, personnellement ça m'a donné envie de replonger encore plus loin dans l'Histoire pour revoir Gangs of New-York, que je trouve plus réussi.
Un casting bien travaillé (dont deux acteurs qui se retrouveront plus tard dans Munich) pour une plongée dans la mafia irlandaise des années 30, sur fond de vengeance familiale. S'il n'y a rien à redire au scénario en-dehors de ses lenteurs, personnellement ça m'a donné envie de replonger encore plus loin dans l'Histoire pour revoir Gangs of New-York, que je trouve plus réussi.
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Re: Cinema Encyclopedia
Fauteuils d'Orchestre
Comédie dramatique française où Cecile de France évolue innocemment parmi des vies plus ou moins célèbres, plus ou moins liées entre elles, dans un quartier chic de Paris. C'est gentillet.
Comédie dramatique française où Cecile de France évolue innocemment parmi des vies plus ou moins célèbres, plus ou moins liées entre elles, dans un quartier chic de Paris. C'est gentillet.
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Re: Cinema Encyclopedia
The Kingdom
Le Royaume
Jamie Foxx et Jennifer Garner, agents du FBI dans le monde du terrorisme en Arabie Saoudite, terre de contraste s'il en est. Forcément des morts dans les deux camps, forcément une fin qui nous dit que la guerre contre le terrorisme n'est jamais finie (ou la guerre contre les infidèles, c'est selon).
A noter : le générique, super bien fait.
Le Royaume
Jamie Foxx et Jennifer Garner, agents du FBI dans le monde du terrorisme en Arabie Saoudite, terre de contraste s'il en est. Forcément des morts dans les deux camps, forcément une fin qui nous dit que la guerre contre le terrorisme n'est jamais finie (ou la guerre contre les infidèles, c'est selon).
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Re: Cinema Encyclopedia
Persepolis
Sans surprise (quand on regarde les critiques, quasi-unanimes), Persepolis est est un excellent film, protéiforme : dessin animé, documentaire, satyre sociale, autobiographie... et tout ça rend un produit passionnant, grâce à son format simple. Une belle histoire, bien racontée.
Sans surprise (quand on regarde les critiques, quasi-unanimes), Persepolis est est un excellent film, protéiforme : dessin animé, documentaire, satyre sociale, autobiographie... et tout ça rend un produit passionnant, grâce à son format simple. Une belle histoire, bien racontée.
- B166ER
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Re: Cinema Encyclopedia
Sweney Todd
Le dernier Tim Burton ne m'a pas décu. Une ambiance réussie, des images superbes, un très bon jeu d'acteurs... Seul le coté "comédie musicale" en a déçu certains, personnellement ca m'a plu.
Asterix aux jeux olympiques
Pas beaucoup plus de surprise, c'est très faible, l'humour est principalement basé sur le casting (certes impressionant !) sans qui le film perdrait tout son (maigre) intérêt...
Cloverfield
Une bête géante attaque New York. Une fois de plus me direz vous ? oui mais cette fois ci, c'est la manière de traiter le sujet qui est inédite. On suit en effet dans ce film une bande d'amis dont l'un, caméra au poing, nous fait partager son ressenti. On est au coeur de l'action, sans aucune distance avec les personnages banals placés dans une situation loin de l'être. On s'y croirait, et c'est ca qui fait l'intérêt du film.
Le dernier Tim Burton ne m'a pas décu. Une ambiance réussie, des images superbes, un très bon jeu d'acteurs... Seul le coté "comédie musicale" en a déçu certains, personnellement ca m'a plu.
Asterix aux jeux olympiques
Pas beaucoup plus de surprise, c'est très faible, l'humour est principalement basé sur le casting (certes impressionant !) sans qui le film perdrait tout son (maigre) intérêt...
Cloverfield
Une bête géante attaque New York. Une fois de plus me direz vous ? oui mais cette fois ci, c'est la manière de traiter le sujet qui est inédite. On suit en effet dans ce film une bande d'amis dont l'un, caméra au poing, nous fait partager son ressenti. On est au coeur de l'action, sans aucune distance avec les personnages banals placés dans une situation loin de l'être. On s'y croirait, et c'est ca qui fait l'intérêt du film.
C'est n'être bon à rien de n'être bon qu'à soi.
http://www.makkelsworld.blogspot.com
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