
Plus sérieusement, j'écoutais aujourd'hui des bruits (était-ce à la télé ou la radio, j'en sais rien, je comatais) où d'abord il ne faut bien évidemment pas sombrer dans la psychose (même si j'ai moi-même arrêté de manger mes charognes de poulets crus), mais on constate quand même une baisse de la consommation. Sur ça je suis totalement d'accord, c'est débile d'imaginer un fléau à la "28 jours plus tard".
Cependant quelqu'un a mis la puce à l'oreille et éclairé les faits sous un angle intéressant : pour qu'on n'arrête pas d'en parler dans les journaux, à la télé, à la radio, partout, c'est quand même qu'il doit y avoir une menace assez sérieuse. De même, ce serait l'armée qui prendrait les choses en main si une épidémie se déclenchait. C'est louche, des mesures d'une telle importance également (vacciner tous les oiseaux? les enfermer tous?). Et puis on connaît le sens aigu de la communication chez nos amis militaires...

Une fois encore, c'est dans la Nature qu'on trouve les plus beaux scénarios d'Hollywood.
